Le Bonheur n’est rien de plus que l’absence de son contraire – le Malheur. Le premier est indéfinissable, insaisissable – comme une vapeur dans l’empyrée ! Quant au second, il est pour le moins vérifiable. Ainsi donc, au lieu de courir après le premier, mieux vaut s’occuper des conditions dans lesquelles tend à surgir le second. Afin d’en assouplir les effets – voire à les retourner en facteurs de résilience et de performance.
Le « Bonheur » doit être pris en compte comme étant un objectif politique. Ce qui suppose la mise en place de règles normatives, d’une planification et d’un encadrement.
Dans les entreprises – et plus généralement dans la société – cela nécessite que l’on considère le « Bonheur » comme une Valeur à part entière dont il s’agit de mesurer et d’appliquer, le plus largement possible, les bénéfices escomptés.
Le 12 juillet 2012 l’ONU a reconnu le Bonheuret le Bien-êtrecomme des aspirations universelles. Et institué la journée du 20 mars comme le rappel annuel de cette reconnaissance spécifique – partie intégrante du Développement Durable.
La Durabilité – et ainsi le « Bonheur » – dans les entreprises relève de nombreux facteurs. En l’occurrence, de toutes les capacités et savoir-faire internes qui permettront : une meilleure cohésion des équipes, une plus large adaptation résiliente aux changements, une plus forte amélioration des conditions générales de travail et la mise en place d’un management éthique.
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