Un prénom prédestiné – s’il en fallait : Marine ou « l’attrait des eaux ».  

Marine pratique la natation depuis son plus jeune âge. Mais lorsqu’elle découvre l’apnée ce sera pour elle comme le coup de gong, le coup de foudre – l’expérience entre toutes qui déterminera la nature de sa véritable passion : plonger, nager, s’avancer librement, comme un élément aérien, mais sous l’eau. 

Marine va dés lors choisir l’apnée comme voie professionnelle. Elle va suivre – et suit toujours – un entraînement physique et mental rigoureux qui exige de l’assiduité, de la motivation et la volonté permanente de se surpasser. 

Mais pour Marine, l’apnée est plus qu’un exercice physique. C’est aussi une activité mentale qui s’apparente à la méditation. Elle y voit  – et la ressent – comme une sorte d’élargissement de soi. Il existe une coïncidence entre ce que la méditation donne à éprouver, un sursaut dans les hauteurs, et la sensation d’être en apesanteur au milieu des profondeurs sous-marines. D’autant que la pratique de l’apnée va de pair avec celle de la méditation – les techniques de la seconde faisant partie de l’initiation aux exercices de la première.      

En 2022, Marine a battu le record de la descente en apnée à poids constant – jusqu’à 63 m de profondeur.  Elle a aujourd’hui (en 2024) 31 ans et elle vient d’être consacrée vice-championne du monde de descente à la brasse (CNF) à Kalamata en Grèce (jusqu’à 64 mètres). 

Parallèlement à son activité de compétitrice en apnée Marine est kinésithérapeute et exerce à Nice. 

Elle propose deux formats pour ses interventions : conférences | et ateliers ou workshop axés sur le bien-être (relaxation et méditation) et sur l’initiation aux techniques de l’apnée.